Samedi 06 février 2016 – J94
18h30,
Dans notre chambre au Dalat Guest House, Kampong Chnang.
Distance parcourue : 93,39km
Vitesse moyenne : 17,84km/h
Vitesse maximum : 32,75km/h
Temps sur le vélo : 5h13min
Dénivelé positif : 93m
Altitude maximum : 30m
5h50… excitation, appréhension, chaleur, … autant de sensations qui nous font nous réveiller. Personnellement je ne tiens plus, je veux trop être sur Doudou et vivre la sortie de la ville! Les sacoches nous prennent un peu de temps (ben oui on n’a plus l’habitude) et Val prend une douche bien froide pour se réveiller. On monte vers 6h30 sur la terrasse. Quentin et Altea sont déjà là attendant le minivan qui doit les conduire à la gare des bus. Ils partent aujourd’hui vers Sihanoukville. Histoire de ne pas provoquer le diable, surtout que j’ai passé une bonne nuit sans souci de digestion, je prends simplement une demi-baguette confiture pour déjeuner. Val commande des crêpes. Erreur car de nouveau on attend les crêpes 35min… Mais elles s’avèreront délicieuses. On prépare Doudou, on fait nos adieux aux Suisses dont le van est arrivé bien 45min en retard, et on fait une photo avec le maitre des lieux, tout en lui donnant un petit sticker. Trop cool ce ptit mec, on a vraiment apprécié ce guesthouse et son personnel (familial?). Il est 8h, on est partis !
Je ne peux m’empêcher d’avoir la musique de Rabbi Jacob quand ils traversent Paris sur une mobylette en tête. On est vite pris dans le flux incessant (qui nous semble un peu moins dense, pcq c’est samedi?). On se faufile partout, on dépasse, on accélère, on se marre avec les tuktuks et les scooters autour de nous qui nous offrent des énormes sourires. On en repère même qui nous prennent en photo avec leur téléphone. C’est juste extraordinaire. Il y a énormément de véhicules, mais le flux est continu. On ne mettra jamais le pied à terre. On se sent même bien dans cette sortie de ville. Sérieux je prends mon pied, on a la patate!
Arrivés au nord de la ville, on prend donc la route 5, vers Kampong Chnang. Je le dis ici, mais je pourrais l’écrire une phrase sur deux : les sourires, la curiosité timide, les encouragements, les ‘Hellooooo’, les signes des mains, tout ça nous a accompagné toute la journée. Les gens étaient tous adorables. Rien que de penser à tous les visages qu’on a croisé aujourd’hui je souris…
La Belgique un plat pays… ils sont venus faire un tour au Cambodge? On fonce, et malgré le vent de face qui malheureusement sera de plus en plus fort jusqu’à la fin de la journée. Les 40 premiers kilomètres sont en travaux : on goudronne la chaussée par portions. On est donc bien vite bruns de la tête aux pieds, se retrouvant souvent dans des nuages de poussière venant de la terre battue sur laquelle on roule. Il n’y à que deux bandes, une de chaque côté, mais elles sont aussi larges qu’une ‘4 bandes’ de chez nous. On est donc bien à l’aise, malgré les dépassements, les camions, les scooters, les voitures, les vélos, les charrettes, … Des vélos d’ailleurs on n’en voit pas beaucoup. Tout le monde à son scooter ici maintenant. Ce sont surtout les jeunes écoliers qui sont avec des vélos trop grands pour eux, mais ils sont beaucoup trop mignons!
Les bâtiments de tous genres s’enchainent. Maisons sur pilotis, maisons flottantes sur le cours d’eau, cabanes de taule ondulée, grands bâtiments abritant banques et structures de microcrédits, etc. On voit également énormément de mosquées riches en couleurs. En effet, il y a une importante population musulmane au Cambodge, et apparemment celle-ci se trouve plus dans les zones rurales que dans les villes. Au bord de la route, tout le monde tient son échoppe devant sa maison. Des fois c’est simplement des abris de bois avec des hamacs pour proposer une petite sieste.
On s’arrêtera donc à midi et après 62km sous le ‘préau’ d’une dame voilée âgée accompagnée d’une jeune fille voilée également. Elle a une glacière et on craque sur un bon coca avec paille. On se pose dans deux hamacs et on mange les pains achetés la veille à la boulangerie. Pendant notre pause énormément de jeunes passent devant nous à vélo en tenue d’écolier (et toujours avec des grands ‘helllooo’ et en nous faisant de grands signes). Après une heure de sockète on redémarre pour les 30 derniers kilomètres. Le vent est plus fort et mes jambes sont vraiment rouillées après 10 jours de pause… il me faudra beaucoup d’arrêts pour soulager mes crampes et mes genoux. A un moment un panneau annonce une montée… on se prend un fou rire, il s’agit plutôt d’une bosse!
15h, on arrive bien crevés à notre objectif. On suit la flèche qui annonce rapidement un guest house pour s’enfoncer dans de petites allées. L’endroit ressemble plutôt à un motel. C’est sommaire mais parfait! On se lave (l’eau est noire) et on fait une bonne sieste lecture jusque 17h30. Tôt, on se dirige donc vers une cantine pas loin pour manger des bonnes nouilles au poulet. L’endroit est tenu par une famille et les enfants s’y mettent à cœur joie pour nous servir.
On sera de retour à 18h30, tellement épuisés qu’on va bien vite sombrer…
Vivement rêver de cette journée magique,
Pif & Val
Pensée positive : On ferme les yeux et on voit plein de sourires ! Overdose de sourires aujourd’hui, ce peuple a vraiment l’air génial pour le moment. Et les enfants sont trop mignons.
Pensée négative : Les jambes ont du mal… ça n’a aucune allure…
Anecdote : Dans les ‘cantines’ ils nous apportent à chaque fois un petit panier en plastique avec plein de boissons. On se serre et ils font le compte à la fin pour régler la note… ça peut pousser plus facilement à ouvrir la ptite sœur…
Dimanche 07 février 2016 – J95
20h18,
Dans notre chambre au Pursat Guest House, Pursat.
Distance parcourue : 114,31km
Vitesse moyenne : 16,93km/h
Vitesse maximum : 27,18km/h
Temps sur le vélo : 6h45min
Dénivelé positif : 59m
Altitude maximum : 63m
6h30 et impossible de dormir plus longtemps! On déjeune avec le fruit du dragon offert par les Suisses (mais ça n’a pas beaucoup de goût) et une barre de céréale chacun ! Peu avant 8h, et peu après avoir attirés les curieux, on démarre ! Il ne fait pas trop chaud pour le moment donc on en profite ! On retrouve notre route nationale ‘5’ sous le chant des ‘rHelloooow’… C’est impressionnant comme certains Cambodgiens bondissent de leurs chaises pour nous saluer ! Tout le long de la journée sera semblable à celle d’hier avec ces sourires et bonjours radieux ! Par contre, aujourd’hui, certains lancent des pétards à tire-larigot. Les premiers nous font sursauter, puis on comprendra vite que c’est pour le nouvel an chinois !
Le vent souffle plus fort aujourd’hui et ce, contre nous… Avec ce petit déjeuner, des biscuits sont nécessaires après 20 bornes. On remarque alors comme les morts sont très respectés : les cimetières sont splendides avec des temples colorés et une grande porte prestigieuse et ce, même dans les villages les plus pauvres ! Les banques, elles, sont en contraste total avec les constructions avoisinantes ! Les maisons sur pilotis (avec table à manger et hamacs en-dessous) nous rappellent nos camps scouts. Niveau décor, certaines régions sont plus boisées que la veille.
Après une grosse soixantaine de kilomètres, on décide de manger un bout à Krakor dans un genre de réfectoire. 6-7 casseroles avec des mixtures différentes… Étant plus réticente, je pars sur la valeur sure : les nouilles au poulet ! Sauf que… ce ne sont pas des nouilles, que c’est rempli de cartilage de poulet et que c’est beaucoup trop piquant… Bref, je vais me contenter de ma portion de riz nature pour ce midi ! Pif, lui, part sur une mixture au porc qui a un meilleur goût. Tellement bon qu’il se ressert sans se rendre compte que ce n’est pas libre service à la base…
A 5km de là se trouve un village flottant ! On décide d’aller voir à quoi cela ressemble. Le chemin est en terre avec des bosses dans tous les sens. Les cabanes sont plus petites, le confort de vie semble moins présent mais tout le monde semble heureux à l’approche du nouvel an chinois ! Arrivés à la jetée, on voit le village flottant au loin : c’est coloré mais c’est au milieu d’un lac bien vert et vaseux… moins idyllique que ce que je n’imaginais ! Pif discute alors avec des français et un guide qui viennent de faire un tour en barque autour de ce village… Il est alors convaincu qu’on doit y passer une nuit, mais moi ça ne me tente pas vraiment. Pas facile de trancher quand on est que 2 ! Finalement, on reste sur la terre ferme et on poursuit notre route sous une chaleur bien plus accablante ! Sur le chemin, on croise de nombreux autochtones en train de danser sous les pilotis. Le vent nous ralentit mais on arrivera à notre objectif avant la tombée de la nuit : Pursat !
On s’installe alors dans notre Guest House et, comme dans la dernière, la salle de bains est très simple : un wc avec douchette ou seau avec louche (on a le choix, mais pas de papier toilette !) et une douche (froide) à proximité qui trempe l’entièreté de la pièce… Va falloir s’y faire ! Cependant, le prix est plus qu’abordable (comme dans beaucoup d’endroits) : 2€/personne! C’est fou, ça coute bien plus cher de manger des nouilles…
Vers 19h, on se promène alors dans les rues et on aperçoit des feux d’artifices pour l’occasion. Les cantines semblent déjà fermées et on se retrouvera finalement au restaurant d’un hôtel, nouilles aux légumes et tofu pour ma part, riz au poulet aux champignons pour Pif. Très contents de notre choix, on rentre alors à l’auberge le ventre bien rempli !
Bonne année (chinoise) à tous !
Val & Pif
Pensée positive : 2 jours sous le soleil, sans problème mécanique, et avec une sacrée bonne impression du pays !
Pensée négative : Pas toujours évident de trancher les décisions à 2…
Anecdote : Les échafaudages sont en bambous et bois, rustiques, mais sacrément impressionnant quand ils entourent des nouvelles constructions de plusieurs étages!
Lundi 08 février 2016 – J96
21h29,
Dans notre chambre au Here Be Dragon Guest House, Battambang.
Distance parcourue : 112,45km
Vitesse moyenne : 18,70km/h
Vitesse maximum : 25,40km/h
Temps sur le vélo : 6h00min
Dénivelé positif : 21m
Altitude maximum : 70m
Réveil à 6h45 dans notre chambre. Il fait frais ce matin et un léger (très léger voile) calme un peu le soleil déjà bien présent. On démarre rapidement en oubliant de faire une photo avec la petite vieille qui tient l’établissement. Elle était pourtant bien sympa. Après quelques centaines de mètres on tombe sur un grand comptoir à l’entrée d’un hangar avec la même enseigne que repérée la veille : une boulangerie cambodgienne. On découvre alors les sucrés et salés qu’ils proposent. Il y a plein de choix et énormément de formes différentes. Ils font des pâtisseries en forme de tortue, de poulpe, de crocodile,… je craque sur ce dernier alors que Val prend une sorte de grosse brioche. 1$ pour les deux, ça coute rien. On savoure nos pâtisseries, fourrée d’une pâte fort sucrée virant dans les tons mauves, et on décide de reprendre deux autres sortes pour un dessert de sécurité pour midi. On choisit et je redonne 1$. Alors qu’on retourne au vélo, la petite Cambodgienne vient jusqu’au vélo et me rend 0,5$... On n’en revient pas de l’honnêteté des gens ici.
On roulera très bien toute la matinée. Au milieu de celle-ci, on s’arrête devant une bawette. La famille est là ainsi que une charrette avec des dames. Alors qu’on arrive on est reçus de nouveau avec pleins de sourires et de gentillesse. On prend un sachet de 5 brioches sucre-coco (sans savoir ce que c’était) et un jus d’orange. Au moment de payer de nouveau on nous demande 1$. Alors qu’on mange sur la table que le monsieur a astiquée pour nous, les enfants qui jouent autour de nous s’approchent de Doudou. Un ptit gars fait le king et s’assied à la place de Val. Je me lève du banc, enlève la béquille, et fais faire un ptit tour à monsieur. Il adore et ça amuse la galerie. Ca fait toujours bizarre : cet enfant de 10 ans max à la parfaire allure du fermier qui apparemment n’est pas scolarisé, mais il sort un iphone de sa poche pour prendre le vélo en photo…
Sur la route, on croise de nouveau énormément d’écoliers. On se dit que la scolarité pour tous n’est pas encore là et les différents niveaux d’éducation se font ressentir même dans la rue. Sur notre gauche des jeunes filles en uniforme, sur leur vélo, qui rentrent de l’école, et à notre droite un groupe d’enfants du même âge qui joue littéralement dans la boue. Comme les maisons : Une magnifique maison sur haut pilotis nouvellement bâtie avec châssis, tuiles sur le toit,… et les voisins habitent dans un taudis de taules ondulées à même le sol.
Deux paysages différents aujourd’hui : de grandes étendues vertes avec des paysans qui récoltent à la main, et des échassiers partout, et après des paysages complètement brulés. Ce qui me fait penser aux ordures omniprésentes. Les tas d’immondices sont vraiment impressionnant sur les bords de la route. Et lorsque le tas est trop grand, ils brulent le tout!
Midi, on a fait 70 bornes, on est à Kakaoh. On s’arrête dans un bouibouis, une taule ondulée maintenue par des bois. Une mama cuisine. Trois tables en plastique sous l’auvent. Elle nous demande ce qu’on veut manger (du moins c’est ce qu’on comprend), on fait mine de se diriger vers ses casseroles pour montrer du doigt ce qu’on veut. Je montre la casserole de riz, Val les nouilles. Elle retire ensuite un essuie d’une assiette dévoilant des morceaux de viande, on en choisit un. On est de nouveau servis avec un immense servir, et des énormes portions. C’est très très bon, on profite bien du moment en échangeant des rires avec Mama et sa famille, et on prendra deux cocas. Toujours frais! Il n’y a évidement pas de frigo. Mais chaque bouibouis a des glacières. Et chaque matin, on voit les marchants de blocs de glace, muni de leur scie circulaire, faire le tour avec leur charrette remplie pour fournir les locaux en glace. On paie le tout : 3$...
L’après-midi sera sur la même note que la matinée : dans la chaleur et la bonne humeur. Partout le même panneau bleu : Cambodian’s People Party. Avec logo et parfois têtes des élus. Le parti politique à la tête du pays. De ce qu’on a entendu à tendance communiste… mais on doit approfondir nos connaissances sur la politique actuelle du pays avant de parler. Les temples sont aussi omniprésents et toujours majestueux et magnifiques. Il y en a tellement qu’on ne les prend pas tous en photo.
On arrive vers 15h30 à Battambang. Pas beaucoup de trafic. 1ère tentative : Guest House soldout. On traverse la rivière qui sépare la ville en deux pour essayer une deuxième. Pendant que Val va voir je garde Doudou, et je me rends compte que le pneu arrière se dégonfle petit à petit. Val redescend en me citant les pours et les contres rester ici. Je rajoute dans les pours le fait qu’on vient de crever… on monte les sacoches dans la chambre! Pendant que Val prend une douche froide je répare le pneu : une petite épine bien dure venu se loger où il ne fallait pas…
Après les douches on profite des deux bières d’accueil offertes par la maison et on prend une assiette de toasts humus qui se révèleront décevants. Les lieux sont très sympas et ne manquent pas de charme, mais c’est quand même fort branché touristes backpackers avec un bar, de la bouffe à l’occidentale… bref on décide de manger dehors. On trouvera quelques rues plus loin un grand hangar avec une affiche dans les deux langues : buffet et bbq. Un des serveurs se débrouille en Anglais et nous montre tout. C’est juste génial. Forfait de 6$ par personne. Au milieu de la table un trou dans lequel ils mettent du charbon. Par-dessus une coupe cylindrique qui remonte au milieu, comme une île métallique avec de l’eau qui bouillonne tout autour. Et un buffet de 30m de long avec mille et une choses à choisir. Nouilles, riz, viandes, légumes, sauces, … plein de trucs. Et on est de nouveau entourés de locaux. Par contre pas de couverts, que des baguettes. Repas délicieux, on rentrera bien repu pour passer une bonne nuit.
Demain visite de la ville,
Pif & Val
Pensée positive : Journée culinairement réussie !
Pensée négative : On n’a pas pris l’appareil photo pour immortaliser le buffet de bouffe du soir.
Anecdote : Dans le buffet, une grande casserole avec plein d’œufs chauds et durs. Alors que je l’écaille à table, on découvre comme des petites plumes. Et donc une spécialité cambodgienne. Je m’apprête à manger un fœtus de poussin. Le jaune et le blanc sont séparés en deux parts égales dans la coquille. Dans le jaune il y a des petits nerfs. Dans le blanc le début de squelette avec la forme du cou et de la tête. C’est bien c’est très bon!
Mardi 09 février 2016 – J97
21h11,
Dans notre chambre au Here Be Dragon Guest House, Battambang.
Lever en douceur aujourd’hui malgré les prières des moines dès 6h du matin dans les hauts-parleurs (si on ne les avait pas vu la veille, on pourrait croire que c’est le marchand de ferailles), après remise à jour du site et bouquin, on quitte nos chambres à 9h. Premier objectif de la journée, trouver un semblant de boulangerie pour éviter les nouilles matinales… Objectif atteint 45 minutes plus tard ! On se ballade dans les rues de Battambang et on remarque vite que c’est une ville plus éclectique (au niveau des origines tant bien asiatiques qu’occidentales), plus riche et relativement propre. Certains bâtiments sont marqués par l’influence française avec une architecture style art déco et se mélangent aux bâtiments traditionnels. La ville est plutôt charmante et colorée. On s’y sent à l’aise mais on a vite fait le tour. Après 3 temples, le marché de la place centrale appelé ‘Psar Nat’ et les ponts, les points d’intérêts de la ville sont visités !
Vers 11h30, on décide de rentrer à l’auberge pour se reposer comme il se doit… Bouquins, recherches sur la suite de l’itinéraire, burger occidental à l’auberge, bouquins, skype, milk-shake à la banane… On change juste d’endroits : du toit de l’auberge, à la chambre puis au bar, on est en mode ‘repos’ !
Le soir, on soupe à la bawette en face de l’auberge : des nouilles avec des brochettes ! Bon mais un peu gras cette fois-ci.
C’est parti pour un film ce soir !
Val & Pif
Pensée positive : De plus en plus à l’aise avec les aléas quotidiens !
Pensée négative : Pif a mal au genou gauche et ça ne passe pas malgré les couches de voltaren et la journée repos...
Anecdote : Dans la rue, il y a des genres d’énormes marmites vertes (ou des jarres) un peu partout mais on n’a pas encore compris leurs utilités…
